La dénatalité dans le monde
Le réchauffement climatique est sans doute un grave problème auquel on doit s’inquiéter et chercher dans la mesure du possible à y remédier, mais il y a un autre problème beaucoup plus dramatique et dont on parle peu, ou plutôt dont on refuse de parler, l’extinction programmée de la race humaine. Certaines personnes ont beaucoup plus d’intérêt à ce que l’ont parle en priorité du réchauffement climatique que de l’extinction pure et simple de la race humaine, dans la mesure où la vente de leurs produits, les en rendent responsables.
De nos jours, tout le monde sait que l’abus de certains produits est, outre dangereux pour la santé, mais, risque d’avoir des effets indirects sur les organismes par hérédité. Le tabac, l’alcool, le cannabis pour ne citer que ces trois là. Le tabac (fumeur actif ou passif) entrainerait, aussi bien chez l’homme que la femme, une baisse de la fertilité de l’ordre de 10 à 20 %. Pour l’alcool, le risque semblerait une forte diminution de la libido. Pour le cannabis, le risque serait la réaction préjudiciable du THC (molécule de la Marijuana) qui limite la capacité reproductive de l’ovule.
Dans cette liste, il nous faut rajouter : certains solvants, (colles, plastiques, caoutchoucs, graisses, teintures, cosmétiques, diluant à peinture, dissolvant de nettoyage à sec), métaux lourds (plomb, mercure, manganèse), gaz anesthésiques, pesticides, insecticides, radiations ionisantes ou non, la chaleur, le poids, le stress et j’en passe. Ces produits sont responsables à eux seuls de 10 à 30% de notre stérilité. Nous côtoyons hélas tous ces produits quasiment quotidiennement, mais le pire de tous est passé sous silence ou s’il ne l’est pas, il est noyé dan la masse de tous ces produits toxiques.
Je veux parler du plus répandu d’entre eux, un plastifiant qui est rajouté depuis quelques années à certains plastiques afin de le rendre plus souple : le MEHP, ce MEHP est responsable, d’après une étude d’une équipe de chercheurs français, rendue publique dans la revue Environmpental Health Perspectives du 9 septembre dernier, d’influencer directement et d’une façon néfaste les cellules produisant les spermatozoïdes. Ce MEHP est présent dans tous nos plastiques souples, (nappe de table, rideau de douche, pochette de transfusion sanguine, film alimentaire, etc.). Et hélas, bien sûre, cette liste est loin d’être exhaustive.
D’après cette étude, ce MEHP serait responsable d’une DIMINUTION DE 40 % de la production de spermatozoïdes chez les personnes en contact avec lui et ceci au bout de 3 jours d’exposition à ce produit, et depuis 50 ans à peine.
Heureusement, en Europe, depuis 1999 il est interdit dans les jouets et objets couramment utilisés par les enfants de moins de 3 ans. Ouf, on l’a échappé belle, nos chères petites têtes blondes sont ainsi épargnées. Bon, c’est vrai, après 3 ans on s’en moque un peu, le principal est que la santé de nos enfants soit ménagée, leur capital testiculaire est donc protégé. Les autres, les plus grands, ils peuvent être intoxiqués cela n’a plus d’importance. Merci l’Europe !
La baisse de fertilité est inégalement répartie dans le monde, cela s’en doute dû aux différents contacts qu’ont pu avoir les utilisateurs de ces produits dangereux et à leurs mode alimentaires.
En Israël, 40 % en 10 ans, Nouvelle-Zélande 50 % en 20 ans, des résultats similaires ont été observés en France, Italie, Grande-Bretagne et en chine. Pour cette dernière, la situation semble plus préoccupante car 58 % des chinois sont en dessous des standards normaux établis par l’OMS. Norme soit dites en passant, à été révisée à la baisse par l’OMS, il y a 50 ans, la norme minimum était de 50 millions de spermatozoïdes par millilitre, actuellement, cette même norme est passée à 20 millions seulement afin de ne point affoler la population.
Si bien sûr, le résultat ne s’en fait pas encore sentir ni à l’échelle planétaire, ni à l’échelle d’une nation, c’est que dans tous les pays développés, la plupart du temps, ils utilisent de la main d’œuvre étrangère qui émarge sur les listes des organismes sociaux qui sont susceptibles de comptabiliser les naissances. Ex en France, les autorités déclarent un taux de natalité de 2,1, donc tout va très bien madame la marquise, seulement voila, la réalité est toute autre, le vrai taux est de 1, 6, les 0,5 suppléments viennent de la population émigrée, qui n’est pas encore touchée par le phénomène.
Seulement, cette même population, si elle reste en France, sera affectée dès la seconde génération. Le taux européen est en réalité de 1,7 ou 1,8, et cela grâce aux Espagnols et Portugais qui sont plus prolifiques que nous les français ou que les gens du nord. Pour ne citer que l’Allemagne, dans moins de 25 à 30 ans, il n’y aura, parmi les jeunes, plus aucun Allemand d’origine et pourtant, globalement leur population augmentera progressivement et cela grâce à leurs émigrés.
Tous ces pays développés qui sont soumis quotidiennement au contact de ces produits toxiques sont soumis aux mêmes problèmes et tous ces pays utilisent le même moyen pour faire face à leur problème de dénatalité, l’migration.
Comme tous les pays en voie de développement ont de gros problème de laissés pour compte, (car hélas le développement ne sert qu’une seule catégorie de personne), l’émigration est donc très forte, et la demande des pays développés étant de plus en plus forte, l’émigration aussi par la même occasion s’accentue par la même occasion.
Pour en revenir à nos produits dangereux que nous consommons chaque jour dans notre eau ou notre air, ils sont déjà responsables de la disparition des poissons en rivières, en lacs et en fleuves. Ils s’attaquent actuellement à la faune et à la flore maritime, d’ici quelques années, les poissons survivants de nos océans seront inconsommables, s’ils ne se sont pas éteints par manque de prospérité, ils seront décimés par d’autres produits tout aussi caustiques que les responsables de cette infertilité.
C’est pour toutes ces raisons, que les grands pollueurs ont tout intérêt à mettre l’accent sur le réchauffement climatique (réchauffement d’ailleurs que l’on met allégrement sur le compte de chaque individu et non sur les principaux responsables), il vaut mieux détourner l’attention sur un bouc émissaire et le réchauffement planétaire est tout indiqué. La vente de ces produits polluants par ces grandes compagnies chimiques dégagent des bénéfices considérables et bien que les responsables du réchauffement planétaire et ces grandes sociétés chimiques soient très souvent les mêmes par le jeu des alliances économiques ou familiales, il faut croire que la menace de perdre ces bénéfices engrangés par la vente de ces produits chimiques était tellement réelle que ces responsables préfèrent payer une taxe carbone que de se ruiner à cesser ces ventes.
A leur décharge, la menace du réchauffement est peut être plus proche de nous qu’une dénatalité à l’extrême menaçant la survie de l’espèce humaine, cependant, mathématiquement, même dans les pires scénarios envisagés d’un réchauffement à l’extrême, il y aurait toutfois des survivants, (n’oubliez pas que cela est déjà arrivé dans le passé, et l’homme bien que moins nombreux asurvécu), alors qu’une hypothèse d’une dénatalité poussée dans son plus fort développement, passé un certain stade, il n’y a plus de retour possible à la normale (voyez certaines espèces animales, malgré tout les efforts de l’homme, n’ont pu être sauvées).
Nous n'en sommes qu’a la première génération à être touché par ce phénomène, que va-t-il se passer à la seconde et éventuellement troisième filiation. Dans la plupart des cas, les études sont effectuées par produit et non en combinant l’action de ces produits qui réagissent entre eux en synergie, se renforçant mutuellement.
Parallèlement, à cette menace chimique, n’oubliez pas d’y rajouter la manipulation génétique effectuée sur les plans eux-mêmes, (appelé couramment OGM), pour parait-t-il faire face à l’augmentation de population ? Des essais ont été réalisés sur des rongeurs (qui ont le double avantage d’être très prolifiques et d’avoir des périodes de gestations énormément courtes), ces essais ont montrés une très nette aggravation de la stérilité sur les animaux nourris avec ces produits.
D’après les scientifiques qui mènent ce projet, il n’y aurait aucun effet secondaire sur leurs utilisateurs, alors que personne n’a le recul concernant les effets cliniques chez l’homme, mais que fait-on alors du principe de précaution si souvent mis en avant lorsque cela arrange des détracteurs politiques influents. Faudra-t-il attendre que la population ait diminuée de moitie pour commencer à s’inquiéter. Et si cela en faite n’était là que le but recherché par tous les gouvernements au monde pour lutter contre la surpopulation mondiale. D’un côté, des gens s’enrichissent en nous fourguant de la mer… sous forme de nourriture ou de composés chimiques dans nos objets du quotidien et d’un autre côté, insensiblement, par ces comportement délétères de ces mêmes personnes, influer, d’une manière indirecte, sur les problèmes dus au surpeuplement.
N’oubliez pas que toutes ces grandes lignées, plus riches les unes que les autres, ont tellement peu confiance aux créations qu’ils produisent, qu’ils ne les utilisent pas eux-mêmes. Que ce soit pour leurs productions d’ustensiles contenant ces fameuses substances chimiques que des produits alimentaires OGM, et oui, ces familles consomment bio, (elles en ont les moyens me diriez-vous), certaines d’entre elles on même leurs propres jardins (avec jardiniers, faut pas pousser quand même), comme tous les grands de ce monde, consomment bio, même les élevages de ces grands propriétaires (volailles, moutons ou bœufs) mangent bio aussi, (on ne sait jamais).
A savoir, aussi, que les produits OGM produisent sur quelques générations seulement, non seulement des problèmes d’infertilité, mais aussi des complications organiques (cancers entre autre) et très souvent se soldant par des menaces létales pour leurs utilisateurs.
Tous les principes actifs de ces produits chimiques (vaccins, médicaments y compris) se retrouvent dans la nappe phréatique (voir l’eutrophisation des eaux et des sols) et la combinaison de leurs actions ne peut avoir un but bénéfique pour l’homme et nos animaux qui se nourrissent et boivent les mêmes choses que nous.
Mais, il y a une certaine moralité à cette histoire, c’est que la nature se venge à sa manière et les OGM contaminent aussi les productions bio, petit à petit, le taux d’OGM augmente dans les plants bio de telle sorte que l’OMS (l’organisation mondiale de la santé) à été dans l’obligation de relever le taux acceptable d’OGM dans ces cultures bio, passant de 3 à 6 % afin de pouvoir rester dans les normes (comme pour le taux minimum de spermatozoïdes) ils réévaluent en permanence toutes les normes de tolérances afin de ne point affoler les populations.
Si ces populations étaient au courant ne serait-ce que de 10 % de ce qui se trame, ce n’est pas le printemps arabe auquel nous assisterions, ni aux émeutes de la faim comme au début des années 2 000 mais à une véritable révolution mondiale.
Ces années que nous vivons ne sont qu’un pas de plus vers la fin de l’humanité.
Sources:
A découvrir aussi
- Vers une ère glacière !!!
- FUKUSHIMA : des nouvelles inquietantes!!!
- Contamination du territoire Français par le césium 137
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 13 autres membres