Les mystérieux géants du sub-espace
Les mystérieux géants du sub-espace
A peine arrivé à l’astroport, Derek rejoignit Deborah.
…On a une visite à faire, tu ne crois pas, j’aimerais voire l’aménagement de ces fameuses soutes, pas toi ?
… Je ne connais pas la grandeur de leurs soutes, mais pour nous, l’aménagement d’une seule à permis de loger cinq cents personnes et notre bon docteur
Kiblé a parlé de réaménager LES SOUTES, aussi je suis curieux de connaître pour combien de personnes cette installation a été prévue, comprends-tu ?
Dans le ventre du cargo, le couple se retrouva confronté à un problème qu’il n’avait pas prévu, a l’intérieur, on n’y voyait rien.
Deborah ne pouvait pas s’empêcher de se moquer de Derek.
… Cela me rappelle une situation presque similaire lorsque j’ai voulu entrer dans les grottes de Tiahuanaco la première fois où nous y sommes allés, à l’intérieur, c’était le noir complet !
… Et alors, la lumière ça existe, non ! Répliqua Derek.
Normalement, à bord de n’importe quel navire, la lumière s’allume automatiquement lorsque quelqu’un entre dans une pièce. Le problème, c’est qu’ils n’étaient présents que sous forme d’esprit, aussi pour l’automatisme d’allumage c’était raté. C’était ce qui provoquait l’hilarité de Deborah, mais c’était sans connaître les connaissances en électricité de Derek qui par télékinésie, actionna les bons contacts de la lumière des cales.
L’aménagement réalisé, était colossal, ils comptèrent huit cales ré agencées pour recevoir du personnel. Un détail attira cependant leur attention, les aménagements avaient été prévus pour des personnes relativement très grandes.
… T’as vu Deb, tout a été prévu pour des géants !
… Ce n’est pas une surprise, on le savait déjà, non ?
… Oui, mais regardes bien, le matériel est prévu pour des utilisateurs de plus de quatre mètres, ce n’est pas normal !
… Ma foi, tu n’as pas franchement tort, c’est vraiment très grand, et là, regardes, ces couchettes, ils font au moins deux mètres de large sur …elle hésita un instant, quatre mètres cinquante, c’est pas normal ça !
Ils comptèrent les lits, ils en dénombrèrent 2 500, répartis dans la soute, superposés comme à l’armée, des meubles pouvant servir « d’armoires » étaient alignés entre chaque rangée de lits, c’était colossal.
Toujours par télékinésie, ils en ouvrèrent un, il était vide et mesurait bien un mètre cube à lui seul, séparé par des rayonnages de bois.
Ils passèrent au mess, un seul mess, mais il tenait à lui seul dans une soute entière soit 3 000 m² au sol sur 10 mètres de haut. L’aménagement était sommaire, des tables avec de part et d’autre des simples bancs.
Ils ouvrirent des « meubles de cuisine » des rangées de gamelles larges comme des soucoupes confectionnées dans une espèce de porcelaine, nues sans motif, toutes de la même couleur blanche.
C’était bien une armée qui était attendue ici, au moins deux mille cinq cents hommes à en juger par l’agencement.
… Le simple fait qu’il y ait des lits, des tables et des couverts semblait vouloir indiquer qu’ils allaient y séjourner plusieurs jours, soit pour la traversée, soit pour s’en servir comme base de repli, une fois rendue à destination ! Expliqua Derek !
… Allons voir ces convertisseurs et le compensateur de structure !
Le convertisseur et le compensateur étaient bien tels que les images qu’avait données Greg, légèrement différentes que celles de l’Espérance, mais à peine très éloignées dans leur forme.
… Et si on les mettait en panne, cela nous donnerait du temps pour se retourner, tu ne crois pas ? Proposa Deborah.
... L’idée m’avait aussi effleurée l’esprit, répliqua Derek, mais pas les deux appareils à la fois, cela leur paraîtrait trop suspect. Mais mettre quoi et comment en panne, tu t’y connais toi en convertisseur ?
… Attends-moi, je reviens de suite ! Dit Deborah qui disparut en un éclair.
Moins de cinq minutes plus tard, elle était de retour avec le portable qui leur avait rendu tant de services lors de l’affaire des caissons de téléportage entre Sirius et Electre et par la suite de l’autre côté du vortex temporel.
A peine ouvert, la voix de Nora se fit entendre.
-- Salut Derek, tu pensais t’être débarrassé de moi, et bien c’est raté, Deborah elle au moins est reconnaissante, elle est venue me chercher pour éviter que je m’ennuie seule au vaisseau !
… Ce n’est pas le moment de plaisanter, le temps nous est compté, d’après toi, comment peut t’on mette ce bidule en carafe, au moins pour quelques heures, un jour serait l’idéal à vrai dire ?
… T’es marrant toi, je n’ai pas reçu les plans de ces trucs là de la Terre, ça ne va pas être facile !
Nora réfléchit un moment puis finit par dire.
-- Derek, tu sais où se trouve les bureaux de la Stanel l’entreprise de maroub qui a effectuée les travaux de ce cargo ?
… Oui, j’y suis allé une fois pourquoi ?
-- Va voir dans leur atelier, les produits qu’ils utilisent pour le nettoyage des nefs, dans le temps, on utilisait du kavidrol, un produit hautement toxique qu’on se servait pour la stérilisation des convertisseurs !
-- Vas voir ce qu’ils ont, tu transmettras à Deborah les noms des produits et si possible les composants qu’ils renferment, la loi oblige qu’ils soient inscrits sur les bidons pour vérification !
Sitôt dit sitôt fait, Derek était déjà parti.
A peine deux minutes plus tard, Deborah recevait un appel de Derek.
… Bingo, il y a du kavidrol, il faut croire que c’est un produit qui ne passe pas de mode !
Deborah traduisit pour Nora, qui hors du Vaisseau, n’avait aucun moyen pour réceptionner l’appel télépathique d’aussi loin de Derek.
… Il y a du kavidrol !
-- Qu’il ramène un bidon avec lui, on a du lessivage à faire ici !
Derek revint avec le précieux galon de produit.
… Je n’ai pas trouvé de chiffons, c’est grave ?
-- On fera avec, dit la voix, maintenant, tout le monde derrière le convertisseur !
Ils traversèrent les parois, et se retrouvèrent près de la coque extérieure.
-- Bon, vous voyez ces grilles, et bien balancez-moi du produit sur l’intérieur, toi Deborah, évites qu’il y ait de la perte, tout doit entrer dans le grillage !
Derek s’occupait par télékinésie de semer le produit en secouant le bidon, tendit que Deborah, toujours par télékinésie, s’évertuait à rassembler le kavidrol, afin d’évité la perte et de bien asperger les grilles.
Quelques minutes suffirent pour arriver à leur fin, et Nora reprit la parole.
-- Ok Derek, débarrasses-toi du bidon, ce n’est pas la peine qu’on le retrouve ici, cela paraitra suspect, ramène-le où tu la trouvé, c’est le mieux, on t’attend ici avec Deborah !
… T’as raison, il est peut être consigné, et j’y pense, les corvées sont toujours pour moi, à ce que je vois ! dit-il en disparaissant avec son bidon.
A peine eut-il réintégré le groupe que Nora donna le signal de départ et ils se retrouvèrent à bord de l’Espérance.
Une fois confortablement installés au carré des officiers, ils y trouvèrent Greg et le commandant du vaisseau qui les attendait.
-- On peut savoir ou vous étiez, vous semblez bien mystérieux, demanda Greg ?
-- On revient d’une visite sur Dénia, très instructive ! Répliqua Derek.
-- En clair, ça veut dire quoi !
-- Ca veux dire que d’une part, il semblerait que nos adversaires soient au nombre de 10 000 environ, des militaires apparemment, mesurant approximativement entre quatre mètres et quatre mètres vingt ou trente maximum !
-- Ce qui veut dire, continua Derek, que les quatre lascars plus ce bon docteur Kiblé qu’on a déjà repéré seraient les plus petits de la bande !
-- Et cela pourrait bien expliquer, continua Greg, pourquoi ce soit justement ces cinq là qui se soient occupés de préparer le départ des autres, ce sont les seuls qui puissent passer presque inaperçus !
-- Bingo, mais t’as rien gagné, désolé, juste le droit de revenir en deuxième semaine ! Répondit Derek.
Ce qui déclencha un grand rire de la part de Deborah et du commandant, mais aucune réaction de la part de Greg. Pour la bonne raison sans doute, que Greg n’était encore pas en mesure d’appréhender tout le sel de l’humour terrien.
Par politesse ou par contagion, va savoir, Greg se mit à rire à son tour, d’un tout petit rire presque gêné.
-- Bon, ne t’inquiètes pas, ce n’est pas grave, juste ce que je pensais être un trait d’esprit terrien, si tu restes quelques temps parmi nous, tu t’y feras !
-- Bon, revenons à notre affaire, onc on s’est trompé en pensant que nous avons affaire à des individus de deux mètres cinquante, il faut de suite avertir la flotte Sirienne qui patrouille dans l’Univers à la recherche de ce type d’humanoïde, Nora ! S’écria t-il.
-- C’est fait, j’ai retransmis les nouvelles proportions de nos quidams au commandant de la flotte Sirienne, il en a pris bonne note !
-- Il nous signale par la même occasion que pour l’instant, ces recherches restent vaines, même en y incluant la nouvelle taille de ces créatures !
-- Ca c’est fait, et pour notre opération en cours, on en est où ? Demanda t-il en s’adressant à Greg.
-- Par le fait, il ne s’est pas passé encore grand-chose, tous nos mutants sont en place et l’embarquement des passagers est sur le point de commencer, mais apparemment, non seulement nos gaillards sont muets comme des tombes, mais leurs tailles restent dans la moyenne !
-- A mon avis, c’est juste avant le décollage qu’ils enverront un message, comme ils ont fait la première fois !
-- Mais, il y a un fait nouveau, ou bien ils sont tous ici et ils vont faire plusieurs voyages, vu le nombre qu’ils sont, ou bien… Nora, quel a été le message exact capté par Golok ?
Aussi fidèle qu’un enregistrement, Nora récita,…N’Bo, ici N’Orb, je viens d’embarquer, les contrôles se sont bien passés, les autres partiront au prochain voyage comme prévu, terminé !
-- C’est tout, rien d’autre ?
-- Non, tout l’enregistrement est là, on peut savoir ?
-- Les autres partiront au prochain voyage comme prévu… Ca veut dire quoi exactement, « les autres tout simplement » ou « tous les autres », je n’arrive pas à discerner la nuance !
-- Et quelle serait la différence ! Demanda Deborah.
-- Et bien, s’il avait dit « tous les autres », cela pourrait bien dire que le nombre d’hommes présents sur Zébra ne dépasse pas les 2 500, par contre, le terme de « les autres » pourrait vouloir dire qu’une partie se trouve déjà sur Dénia, « les autres » pourraient désigner ceux qui sont encore sur Zébra, vous voyez ?
-- Si une partie se trouve déjà sur Dénia, où sont-ils ?
-- Par contre, si « les autres » désignent bien que les 2 500 sont encore sur Zébra, cela risque d’être chaud pour nos gars, car ils seront tous à l’embarquement de tout à l’heure, on n’a pas intérêt à se faire remarquer !
-- Qu’est-ce qui te permet de parler ainsi ? Demanda Deborah.
-- Le simple fait que notre bon toubib a dit, je le cite : Comme cela, nous rattraperons le temps que cet imbécile de gratte-papier de la sécurité nous a fait perdre.
-- Cela confirme que l’ensemble du commando sera bien à bord du navire de ligne s’ils ne veulent pas déplacer leur jour de départ. Et apparemment, ils font tout pour respecter cette date !
-- Enfin, quand je dis qu’ils doivent partir, ils essayeront, car avec le petit cadeau qu’on leur a fait, il est bien possible qu’ils décident de remettre leur départ de 24 heures !
Et au grand étonnement de Greg et de l’officier, Deborah et lui eurent un petit rire, repris en cœur par Nora.
-- Si vous nous disiez très précisément en quoi consiste l’objet de votre hilarité, on pourrait peut être en profiter nous aussi ?
Et Deborah les affranchit du tour qu’ils leur avaient joué.
-- Dis nous Nora, t’es sûr que ce kavidrol va les retarder ?
-- Absolument, quel que soit l’alliage de leur convertisseur, le simple fait d’avoir « avalé » quelques gouttes de kavidrol, je peux vous garantir que cela va lui faire tout drôle dès la première larme absorbée. Le vaisseau va tout d’abord dans un premier temps se mettre à tousser et ensuite à pleurer, mais à pleurer comme un robinet qu’on ne peut refermer !
-- Et ensuite ? Demanda Greg.
-- Ensuite, il risque fort d’avoir une grosse quinte de toux et ce sera la dernière si tout va bien, on ne devrait plus l’entendre, il aura sans doute fini de souffrir !
-- Comment ça, tu veux dire que le convertisseur sera mort ?
-- Oui si tout va bien, après le décollage, quelle que soit leur façon de fonctionner, ils ne peuvent utiliser leur convertisseur à l’intérieur de la galaxie. Ils seront donc dans l’obligation de faire fonctionner leur propulseur d’énergie pour sortir de Cassiopée !
-- Si comme je le pense, ils utilisent les mêmes entrées pour capter l’énergie, pour le convertisseur comme pour le propulseur, à la mise en route des propulseurs, le produit doit commencer à agir et ils ne pourront pas décoller !
-- Par contre si tout va mal, alors ils pourront décoller, mais seront hors d’état de marche dès la mise en route du convertisseur, et là, ce sera l’explosion de ce dernier, d’une façon comme d’une autre, ils seront arrêtés, soit au sol, soit en hyperespace !
-- Euh, émit Derek, l’option à l’entrée dans hyperespace me conviendrait mieux pour être franc. J’ai une grande confiance en toi, Nora, mais j’aimerai une dernière précaution, un plan B en quelque sorte. Ne pourrait-on pas mettre un traqueur à bord de leur cargo, un ou plusieurs, si le premier tombe en panne !
-- Car s’ils sont en panne en hyper-espace, ce sont des hommes d’élites, et parmi eux des télépathes, ils peuvent très bien avoir une solution pour sortir de là, ne prenons pas de risque et essayons de prévoir l’impossible !
-- Nora, tu me prépares trois ou quatre traqueurs en état de marche !
-- Il nous reste combien de temps avant l’embarquement !
-- Sept minutes avant l’embarquement ! Répondit Nora.
-- Il nous reste donc en gros, une heure d’embarquement, plus quatre heures soit cinq bonnes heures, avant l’arrivée du vaisseau sur Dénia. Cette fois, tu viens avec moi, Greg, on a encore une visite à faire au cargo, ensuite on passera voir tes gars qui planquent à astroport ainsi que ceux qui sont chargés du toubib !
-- Deb, tu restes là pour le relais avec Nora, si on ne revient pas, tu prends le commandement et on se retrouvera sur Dénia !
-- A vos ordres commandant, vous préférez sortir entre hommes, je comprends, vous avez trouvé quelques belles Déniennes à draguer ?
Cette fois, Greg rit de bon cœur, par contre, Derek lui rit jaune.
-- Te voila reparti dans ta jalousie paranoïaque! Dit Derek en se téléportant à son appareil de sortie en astral.
Il était sur le point de manipuler l’appareillage lorsqu’il aperçut Deborah accompagnée de Greg. Il avait oublié que Greg n’était pas télé-kinésiste sous sa forme physique, mais il le devenait seulement lorsque qu’il était en astral.
-- Tiens, dit Deborah, t’as oublié ton compagnon de débauche ainsi que les traqueurs, vous devriez vous en coller un aux fesses, comme cela on pourra vous retrouver si vous vous égarez dans votre bouge !
Derek ne répondit pas et prépara sa sortie en astral.
Lorsqu’ils furent seuls, Greg lui télépathisa.
… Et bé, elle n’est pas commode !
… Ne t’inquiètes pas, cela ne dure jamais !
Une voix leur parvint très lointaine.
… J’ai entendu !
Ils se retrouvèrent à bord du cargo.
Derek dit à Greg.
… Evitons de mettre les traqueurs trop près du convecteur, s’ils doivent le démonter pour le réparer, ils pourraient tomber dessus, dans les soutes non plus car ils pourraient être remarqués par les miliciens, trouvons un autre endroit !
…Apparemment, ils n’ont pas l’intention de charger d’iridium, si on en profitait pour les mettre dans les soutes restantes !
… Au pire, on pourrait demander à Nora, si des traqueurs étaient immergés, continueraient-ils à fonctionner ?
… Deb, t’as entendu, poses la question à Nora, s’il te plait ?
…, … !
… Deb, arrêtes de faire la gueule et réponds-nous !
… Ca va j’arrive, je ne suis pas à ta disposition 24 heures sur 24, oui, d’après Nora, un traqueur est parfaitement étanche, et sera juste radioactif après, mais cela pas d’incidence sur son fonctionnement !
… Et les parois en arkan, peuvent-t-elles poser problèmes ?
Cette fois, la réponse leurs parvint avec quelques retards.
… Non aucun problème, leur longueur d’onde passe à travers, ce métal !
… Merci, bon Greg on y va, suis-moi !
Ils passèrent dans les soutes que Derek avait déjà visitées avec Deborah, Greg était, stupéfait, jamais il n’avait vu des lits de cette taille !
…Ils sont grands et lourds, t’as vu l’épaisseur des pieds de lits !
… Et t’as encore rien vu, je vais te montrer le mess!
Ils se retrouvèrent dans l’immense salle à manger, Greg n’en croyait pas ses « yeux » et furetait un peu partout, s’attardant sur chaque détail.
… Bon on pose nos pièges et on se casse ! Dit Derek.
Ils disposèrent tout de même un traqueur derrière une « armoire » fixée au mur, mais dont l’espace près d’un pied contre la paroi permettait de glisser un de ces appareils.
Ces traqueurs étaient des modèles spéciaux, ils n’étaient pas passifs comme les appareils d’observation contrôlant l’astroport, mais actifs, un émetteur d’onde ultra courte, émettant dans des fréquences très basses de l’ordre du micromètre, pouvant passer quasiment partout, rien ne les arrêtaient, envoyant un signal d’ondes tachyons sur un rythme programmable à l’avance. Cette programmation permettait d’identifier l’émetteur.
L’avantage d’un tel émetteur, programmable par zone et par unité, c’est que l’on peut identifier, non seulement le groupe auquel il appartient, mais aussi l’endroit exact ou il a été posé. En cas de repérage par l’ennemi, on peut suivre la progression des recherches de l’adversaire. Eventuellement, le dernier de la chaine à être détecté peut recevoir un code d’autodestruction, soit être autoprogrammé pour sa destruction, si l’on opère dans un endroit où l’on ne peut recevoir d’information, soit conditionné en retour par un opérateur éloigné.
Cette autodestruction n’est pas une simple destruction du traqueur, mais un distordeur de champ électromagnétique. Ce distordeur s’attaque directement au champ électromagnétique environnant à l’échelle nanométrique, il corrompt ce champ, avec effet amplifiant, l’onde de choc s’attaque à tout ce qui est métallique et cesse instantanément lorsqu’il est coupé de cet élément.
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