La dengue est à nos portes
La dengue est à nos portes
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On a survécu à la vache folle, la grippe aviaire et la grippe H5N1, voici pour l’été 2012 (ou un autre), la dengue !
D’après l’OMS (l’Organisation Mondiale de la Santé), la dengue frappe un peu partout dans le monde, les moustiques responsables de sa propagation (les moustiques Aèdes aegypti et Aedes albopictus, oui, deux pour le prix d’un), ont été signalés dans toutes les zones urbaines et semi-urbaines des régions tropicales et subtropicales.
Identifié, dès les années 2004 en Italie et en France, dans les Alpes-Maritimes, Aedes aegypti est semble-t-il responsable depuis deux (2010) des cas de dengue autochtones.
Vue l’augmentation de la température mondiale, une pandémie peut être redoutée, surtout après un hiver relativement doux (comme celui que nous vivons en ce moment en Europe), l’OMS évidement ne nous dit pas si ce scénario sera pour cet été ou un autre, mais parle d’une éventuelle pandémie qui pourrait toucher plus de la moitié de la population mondiale (rien que ça).
Si cette « éventuelle pandémie » de dengue est aussi « meurtrière » que l’a été la grippe H5N1, nous avons de beaux jours devant nous, mais cette fois, la pandémie nous coûtera bien moins chère, étant donné qu’il n’y a pas de vaccin à cette maladie virale.
Mais je vous rassure tout de suite, les probabilités pour que la maladie ait des conséquences létales sont de moins d’1 %. Pour l’avoir contactée moi-même personnellement, les symptômes se traduisent par des maux de tête, parfois de la fièvre, des tremblements et une sensation de faiblesse extrême des jambes, des douleurs stomacales, abdominales, dorsales, douleurs musculaires et articulaires.
Bien sûr, si vous avez de la chance, vous n’êtes pas obligés de ressentir toutes ces réjouissances en même temps, un seul de ces symptôme parfois, mais un détail quand même, les douleurs peuvent « tourner », et dans ces moments là, on se sent bien seul, pas facile d’expliquer ça à un toubib sans qu’il ne vous prenne pour un simulateur.
Bon, mis à part l’inconfort physique dans lequel on se trouve, on peut encore travailler, le remède (que j’ai moi-même expérimenté), prescrit par le médecin qui voulait absolument me mettre en maladie, devant mon refus, me prescrivit 4 000 000 d’unités (4 millions d’unités) de pénicilline dans les fes… chaque jour pendant 4 jours, ca marche.
Bon, c’est vrai, en sus, j’y ai rajouté un complément local, remède régional, un verre complet (20 à 30 cm3 quand même), de rhum blanc chaud additionné de sucre de canne ou de miel, le jus d’un citron vert et 2 cachets d’aspirine), c’est bien simple, les deux années suivantes, je ne suis pas retourné voir le médecin et je me suis soigné uniquement ainsi. C’est vrai, pour être franc, je dois l’avouer, les deux autres fois ou j’ai contracté cette maladie, mon organisme était plus ou moins immunisé et je l’ai fatalement attrapée beaucoup moins fortement.
En attendant toutes ces réjouissances, ne vous mettez pas martel en tête, vous ferez peut être partie des 50 % qui ne l’attraperont pas.
karfa93
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